Vous voulez
rejoindre le parc de La Lopé ? Aucun problème un bus vous attend déjà à
Libreville. Ne soyez pas surpris du nombre de taxis et bus qui remplissent les rues, vous ne verrez bientôt plus qu’une
route peu entretenue et remplis de boue, espérer que il n’y a pas eu de pluie
les jours précédents votre départ. Vous voyagerez sur une distance de 260km
donc attacher votre ceinture et retenez ses quelques conseils.
Après quelques
contrôles routiers et deux trois heures de route, vous pourrez manger à Ndjolé
de délicieux «coupé-coupé», des morceaux de bœuf accompagné de banane et
de pomme de terre, en face du fleuve Ogoué.
Vous
reprendrez la route jusqu'à un dernier pont où un panneau annonce « La Lopé 100Km » et là, c’est la terre rouge comme les
terrains de Roland Garros qui s’offre à vous, plus de taxis ni de camions et
une forêt gigantesque. Un nombre incalculable d’arbres d’une grande beauté compléterons les virages
incessants. Un contraste permanent entre le vert de la forêt et la terre rouge.
Une masse d’arbres et de lianes vous
empêcherons de voir le reste de la foret par leurs grande taille allant jusqu'à
30 mètres .
Vous vous
sentirez loin de Libreville. Vous serrez comme un aventurier qui traverse la
foret
Les énormes
trous de boue appelé communément « Bourbiers » vous accueillerons
pour vous barrez le chemin, bloquer votre véhicule ou vous faire sortir de la
« route » ne soyez pas étonné de croisez des camions embourbé et
abandonné.
Comme nous sommes sympas nous vous divulguons notre astuce pour passez ces fameux bourbiers :
Comme nous sommes sympas nous vous divulguons notre astuce pour passez ces fameux bourbiers :
Pour passer un bourbier vous pouvez soit sortir du véhicule pour le pousser ou si vous n’êtes pas seul sur la route vous faire tracter.
La route est
si mauvaise que 100km vous prendras 7h de route au lieu de 1h sur une route
normale. Mais rassurez-vous la beauté de
la forêt vous rassureras durant votre périple. Et de plus si vous ouvrez bien
les yeux, vous verrez peut-être des éléphants, des singes, des buffles, des
chèvres ou bien des crocodiles.
Vous
traverserez un dernier pont annonçant le parc « La Lopé » enfin le
calvaire terminé, vous allez enfin pouvoir profité pleinement de cette
magnifique réserve naturelle.
SAUVETAGE D'UNE TORTUE
Dans les
environs de 15h, sous un soleil battant, nous voyons un vendeur de fruits qui avait
ligoté une tortue pour la vendre en tant que nourriture. Pris de pitié, nous décidons alors de l’acheter
pour lui rendre sa liberté. Nous nous sommes cotisés pour une somme totale de
3000 francs CFA. Nous l’avons baptisé Franklin, bien qu’au début nous pensions
que c’était une femelle nous l’avions nommé Clémentine. Malgré ses multiples tentatives d’échappatoire,
elle nous a finalement accompagnés jusqu’à la fin de notre périple où elle a
retrouvé la nature. Vive les Tortues !
Ecrit par Theo et Riad
En effet votre route ne semble guère praticable mais on en a connues des semblables.....Bravo d'avoir sauvé Franklin/Clémentine! Jo
RépondreSupprimerLes tortues luttent aussi pour sortir de la route on dirait!
RépondreSupprimer